Douce…

Douce
De cette lenteur
Qui fait des rides,
Et s’enroule de tourbillons
Aux moments de calme
Interrompue
Par des bancs en voyage
Veinée alors
De filets qui s’incurvent
En courbes que j’intègre,
S’enroulent et se mêlent
Et confluent
Aux flots jaunes